lundi 28 juillet 2008

Le cheikh et le chien

Un chien impur reposait sur la poitrine d'un cheikh qui ne retira pas le pan de sa robe. Quelqu'un luit dit :" Ô toi qui es recommandable par ta dévotion ! pourquoi ne te gares-tu pas de ce chien ?" - " Ce chien répondit le cheikh, a un extérieur impur; mais en réalité, cette impureté n'est pas évidente à mon intérieur. Ce qui à l'extérieur est manifeste à son égard m'est caché à l'intérieur. Puisque mon intérieur est comme l'extérieur du chien, comment aurais-je de l'aversion pour lui, puisqu'il me ressemble ? Lorsque la moindre chose obstrue ton chemin, qu'importe que tu sois arrêté par une montagne ou par une paille.

Tiré de http://www.journalsoufi.com

Encore ?



Quand l'heure sonnera



René François



Revers de médaille



Poids d'or



Un sou est un sou



S'extirper



Solution



Sortie de tube



Sou d'amour



Et vogue la galère



Un sou est un sou



Un sou est un sou 3



Venu de nulle part



Issu du tube

Sous



Fixation temporelle



Gouvernail



Hydre



Hypo



Fixation 2



Microjokari



Neurone



Or et lumière



Pantouffle d'hypo



Justice



Justice 2



Lancer de balle



Maitrise mon oeil



Mickey capture



Corpus 2



Deux sous



Elle fit le tour du monde (Soudée et perdue en 2008)



Envol



Euro Cent



Belle image



Charriot de fortune



Connection d'ailleurs



Corpus 1

De matière et d'image

Rai de lumière

Conjonction



Croquer le mystère

samedi 26 juillet 2008




Corps en fusion de peau

Ca tombe sous le signe

Fantôme électronique

Qui sème des promesses accumule les dettes.



Il était difficile à garder en main. Il cherchait vélocement le bas. Aucune peur de chute, son choix de vie.
Je réussi à le laisser choir sur la table basse. Il courut se jeter dans le vide, soit 50 cm, soit 100 fois sa hauteur. Sitôt toqué, sitôt reparti, speedy bolide, mégatanker. Sa vue ? Une main qui bouge à 10 cm.



Il donnait ainsi des indices de lui.



Des images à toucher son désir en cette séparation des corps.


Etre si collé à ses convictions, fausses analogies au fond éphémères et stables.
Il n'y aura jamais assez d'images, assez de loupes pour dire ce qui nous tient, ce qui nous lie.
Que pourrais-je désirer de plus de toi, de ton ravissement d'être?
Nous savons les courants qui ont portés nos esquifs en transparence
nos verres d'infinis et de rêves, notre soif de l'Autre


Mes choses sont parfois longues à investir. Elles franchissent des espaces dans l'infinité des gestes, des possibles. L'impossibilité de les comprendre les rend inépuisables pour l'imagination. C'est un vœu.